sábado, 18 de fevereiro de 2012

Uma maravilha para os nossos ouvidos - Arcanjo Corelli - Compositor do período barroco

http://www.youtube.com/watch?v=6kQhQR8p43k

"La Dernière Classe," par Alphonse Daudet (A última aula, por Alphonse Daudet)


                        
"La Dernière Classe," by Alphonse Daudet

annotated by Zakaria Fatih

Ce matin-là j'étais très en retard pour aller à l'école, et j'avais grand-peur d'être grondé, d'autant que M. Hamel nous avait dit qu'il nous interrogerait sur les participes, et je n'en savais pas le premier mot. Un moment l'idée me vint de manquer la classe et de prendre ma course à travers champs.

Le temps était si chaud, si clair.

On entendait les merles siffler à la lisière du bois, et dans le pré Rippert derrière la scierie, les Prussiens qui faisaient l'exercice. Tout cela me tentait bien plus que la règle des participes; mais j'eus la force de résister, et je courus bien vite vers l'école.

En passant devant la mairie, je vis qu'il y avait du monde arrêté près du petit grillage aux affiches. Depuis deux ans, c'est de là que nous sont venues toutes les mauvaises nouvelles, les batailles perdues, les réquisitions, les ordres de commandature; et je pensai sans m'arrêter:

«Qu'est-ce qu'il y a encore?»

Alors, comme je traversais la place en courant, le forgeron Wachter, qui était là avec son apprenti en train de lire l'affiche, me cria:

«Ne te dépêche pas tant, petit; tu y arriveras toujours assez tôt à ton école!»

Je crus qu'il se moquait de moi, et j'entrai tout essoufflé dans la petite cour de M. Hamel.

D'ordinaire, au commencement de la classe, il se faisait un grand tapage qu'on entendait jusque dans la rue, les pupitres ouverts, fermés, les leçons qu'on répétait très haut tous ensemble en se bouchant les oreilles pour mieux apprendre, et la grosse règle du maître qui tapait sur les tables:

«Un peu de silence!»

Je comptais sur tout ce train pour gagner mon banc sans être vu; mais justement ce jour-là tout était tranquille, comme un matin de dimanche. Par la fenêtre ouverte, je voyais mes camarades déjà rangés à leurs places, et M. Hamel, qui passait et repassait avec la terrible règle en fer sous le bras. Il fallut ouvrir la porte et entrer au milieu de ce grand calme. Vous pensez, si j'étais rouge et si j'avais peur!

Eh bien, non. M. Hamel me regarda sans colère et me dit très doucement:

«Va vite à ta place, mon petit Frantz; nous allions commencer sans toi.»

J'enjambai le banc et je m'assis tout de suite à mon pupitre. Alors seulement, un peu remis de ma frayeur, je remarquai que notre maître avait sa belle redingote verte, son jabot plissé fin et la calotte de soie noire brodée qu'il ne mettait que les jours d'inspection ou de distribution de prix. Du reste, toute la classe avait quelque chose d'extraordinaire et de solennel. Mais ce qui me surprit le plus, ce fut de voir au fond de la salle, sur les bancs qui restaient vides d'habitude, des gens du village assis et silencieux comme nous, le vieux Hauser avec son tricorne, l'ancien maire, l'ancien facteur, et puis d'autres personnes encore. Tout ce monde-là paraissait triste; et Hauser avait apporté un vieil abécédaire mangé aux bords qu'il tenait grand ouvert sur ses genoux, avec ses grosses lunettes posées en travers des pages.

Pendant que je m'étonnais de tout cela, M. Hamel était monté dans sa chaire, et de la même voix douce et grave dont il m'avait reçu, il nous dit:

«Mes enfants, c'est la dernière fois que je vous fais la classe. L'ordre est venu de Berlin de ne plus enseigner que l'allemand dans les écoles de l'Alsace et de la Lorraine... Le nouveau maître arrive demain. Aujourd'hui c'est votre dernière leçon de français. Je vous prie d'être bien attentifs.»

Ces quelques paroles me bouleversèrent. Ah! les misérables,voilà ce qu'ils avaient affiché à la mairie.

Ma dernière leçon de français!...

Et moi qui savais à peine écrire! Je n'apprendrais donc jamais! Il faudrait donc en rester là!... Comme je m'en voulais maintenant du temps perdu, des classes manquées à courir les nids ou à faire des glissades sur la Saar! Mes livres que tout à l'heure encore je trouvais si ennuyeux, si lourds à porter, ma grammaire, mon histoire sainte me semblaient à présent de vieux amis qui me feraient beaucoup de peine à quitter. C'est comme M. Hamel. L'idée qu'il allait partir, que je ne le verrais plus me faisait oublier les punitions et les coups de règle.

Pauvre homme!

C'est en l'honneur de cette dernière classe qu'il avait mis ses beaux habits du dimanche, et maintenant je comprenais pourquoi ces vieux du village étaient venus s'asseoir au bout de la salle. Cela semblait dire qu'ils regrettaient de ne pas y être venus plus souvent, à cette école. C'était aussi comme une façon de remercier notre maître de ses quarante ans de bons services, et de rendre leurs devoirs à la patrie qui s'en allait...

J'en étais là de mes réflexions, quand j'entendis appeler mon nom. C'était mon tour de réciter. Que n'aurais-je pas donné pour pouvoir dire tout au long cette fameuse règle des participes, bien haut, bien clair, sans une faute; mais je m'embrouillai aux premiers mots, et je restai debout à me balancer dans mon banc, le coeur gros, sans oser lever la tête. J'entendais M. Hamel qui me parlait:

«Je ne te gronderai pas, mon petit Frantz, tu dois être assez puni... voilà ce que c'est. Tous les jours on se dit: Bah! j'ai bien le temps. J'apprendrai demain. Et puis tu vois ce qui arrive... Ah! ç'a été le grand malheur de notre Alsace de toujours remettre son instruction à demain. Maintenant ces gens-là sont en droit de nous dire: Comment! Vous prétendiez être Français, et vous ne savez ni parler ni écrire votre langue!... Dans tout ça, mon pauvre Frantz, ce n'est pas encore toi le plus coupable. Nous avons tous notre bonne part de reproches à nous faire.

«Vos parents n'ont pas assez tenu à vous voir instruits. Ils aimaient mieux vous envoyer travailler à la terre ou aux filatures pour avoir quelques sous de plus. Moi-même n'ai-je rien à me reprocher? Est-ce que je ne vous ai pas souvent fait arroser mon jardin au lieu de travailler? Et quand je voulais aller pêcher des truites, est-ce que je me gênais pour vous donner congé?...»

Alors d'une chose à l'autre, M. Hamel se mit à nous parler de la langue française, disant que c'était la plus belle langue du monde, la plus claire, la plus solide: qu'il fallait la garder entre nous et ne jamais l'oublier, parce que, quand un peuple tombe esclave, tant qu'il tient sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison... Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup.

La leçon finie, on passa à l'écriture. Pour ce jour-là, M. Hamel nous avait préparé des exemples tout neufs, sur lesquels était écrit en belle ronde: France, Alsace, France, Alsace. Cela faisait comme des petits drapeaux qui flottaient tout autour de la classe pendu à la tringle de nos pupitres. Il fallait voir comme chacun s'appliquait, et quel silence! on n'entendait rien que le grincement des plumes sur le papier. Un moment des hannetons entrèrent; mais personne n'y fit attention, pas même les tout petits qui s'appliquaient à tracer leurs bâtons, avec un coeur, une conscience, comme si cela encore était du français... Sur la toiture de l'école, des pigeons roucoulaient bas, et je me disais en les écoutant:
«Est-ce qu'on ne va pas les obliger à chanter en allemand, eux aussi?»

De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui comme s'il avait voulu emporter dans son regard toute sa petite maison d'école... Pensez! depuis quarante ans, il était là à la même place, avec sa cour en face de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage; les noyers de la cour avaient grandi, et le houblon qu'il avait planté lui-même enguirlandait maintenant les fenêtres jusqu'au toit. Quel crêve-coeur ça devait être pour ce pauvre homme de quitter toutes ces choses, et d'entendre sa soeur qui allait, venait, dans la chambre au-dessus, en train de fermer leurs malles! car ils devaient partir le lendemain, s'en aller du pays pour toujours.
Tout de même il eut le courage de nous faire la classe jusqu'au bout. Après l'écriture, nous eûmes la leçon d'histoire; ensuite les petits chantèrent tous ensemble le BA BE BI BO BU. Là-bas au fond de la salle, le vieux Hauser avait mis ses lunettes, et, tenant son abécédaire à deux mains, il épelait les lettres avec eux. On voyait qu'il s'appliquait lui aussi; sa voix tremblait d'émotion, et c'était si drôle de l'entendre, que nous avions tous envie de rire et de pleurer. Ah! je m'en souviendrai de cette dernière classe...

Tout à coup l'horloge de l'église sonna midi, puis l'Angelus. Au même moment, les trompettes des Prussiens qui revenaient de l'exercice éclatèrent sous nos fenêtres... M. Hamel se leva, tout pâle, dans sa chaire. Jamais il ne m'avait paru si grand.

«Mes amis, dit-il, mes amis, je... je... »

Mais quelque chose l'étouffait. Il ne pouvait pas achever sa phrase.

Alors il se tourna vers le tableau, prit un morceau de craie, et, en appuyant de toutes ses forces, il écrivit aussi gros qu'il put:

«VIVE LA FRANCE!»

Puis il resta là, la tête appuyée au mur, et, sans parler, avec sa main il nous faisait signe:

«C'est fini...allez-vous-en.»
                          

sexta-feira, 17 de fevereiro de 2012

"Ser um calaceiro"

Calaceiro adj. s. m. (calaça+eiro)

Ser calaceiro refere-se àquele que não gosta de trabalhar nem estudar,  que é um preguiçoso, um vadio, um mandrião.

Está associado a calaça (preguiça; porção de carne), que, segundo o professor Orlando Neves, é um termo que nos remete para os mendigos que pediam a calaça, um pedaço de carne.

(informação recolhida na antena 1, audição do programa Lugares Comuns, de Mafalda Lopes da Costa)

  
                      
 Outra opinião recolhida em:

" Sobre «calaça»

Vem do porco

      «“Calaceiro” vem de “calaça” e a palavra, de origem grega, designava muito especificamente as partes da carne do porco que não eram aproveitadas para o consumo. Como se imagina, deviam ser muito poucas, pois que do porco, como bem se sabe, tudo se aproveita, até os pezinhos. De qualquer forma, calaça eram pois estes restos do porco e terá assumido o significado de “preguiça”, “mandriice”, porque os mendigos, ao baterem à porta das casas, pediam por calaça, ou seja, pediam as sobras, os restos quer de carne quer de outros alimentos. E da parte pelo todo, surgiu o termo “calaceiro” como aquele que pede calaça, sinónimo de mandrião, preguiçoso, que não trabalha e vive da mendicidade, à custa dos outros» (Lugares Comuns, Mafalda Lopes da Costa, Antena 1, 6.05.2011).
      Lá terá as suas fontes. O Dicionário da Língua Portuguesa da Porto Editora não contribui para a elucidação da questão. O Dicionário Priberam da Língua Portuguesa regista a acepção antiga «foro que consistia numa porção de carne», mas trata-se de óbvia má interpretação do que diz Fr. Joaquim de Santa Rosa de Viterbo no seu Elucidário. Para o honesto Morais, calaça era a «costela de porco, ou banda». Quanto a «calaceiro», dá-o como derivado, provavelmente, do espanhol calabacero. «Parece ser a costa, ou banda de um porco» registou Fr. Joaquim de Santa Rosa de Viterbo. "

Para rir: anedota entre um chinês e um americano

Um americano para um chinês:

- Do you have elections?

Ao que o chinês responde:

-Yes, yes! Evely molning!

                                         





terça-feira, 14 de fevereiro de 2012

Canções Famosas de Etta James



Bolo de Chocolate - Receita para festejar o Dia dos Namorados

                
               
Bolo de Chocolate (muito bom)

Misturar quatro gemas com duas chávenas de açúcar e farinha com fermento (almoçadeiras pequenas), uma almoçadeira de leite, quatro colheres de sopa de chocolate em pó e um decilitro de óleo. Por fim envolver as claras em castelo, vai a cozer numa forma.

Recheio: uma chávena mal cheia de leite, cem gramas de coco e meia lata de leite condensado. Vai ao lume, depois de levantar fervura mexer mais ou menos dez minutos.

Cobertura: um pacote de natas, uma tablete de chocolate, açúcar a gosto.

Bom apetite!
 
        

segunda-feira, 13 de fevereiro de 2012

Hoje é Dia Mundial da Rádio

Encontrei aqui:


" 13 de Fevereiro - Dia Mundial da Rádio

Escrito por APR

Sexta, 10 Fevereiro 2012 11:46

Este ano assinala-se pela primeira vez o Dia Mundial da Rádio.

A data vai ser assinalada pelo ISCSP que organiza, em Lisboa, um encontro entre estudantes e profissionais do sector.

O dia 13 de Fevereiro foi a data escolhida pela UNESCO para comemorar o Dia Mundial da Rádio, uma data que procura não só celebrar a Rádio mas também promover a cooperação internacional entre radiodifusores.

De acordo com a organização esta é uma ocasião única para chamar a atenção para o valor único da Rádio que, de acordo com a UNESCO, continua a ser o meio de comunicação social que atinge as maiores audiências, continuando a adaptar-se às novas tecnologias e a novos equipamentos.

O Instituto Superior de Ciências Sociais e Políticas (ISCSP) da Universidade Técnica de Lisboa, através do núcleo de investigadores de Comunicação e Media do Centro de Administração e Políticas Públicas (CAPP), promove, no dia 13 de Fevereiro, o evento comemorativo do 1.º Dia Mundial da Rádio.

O ISCSP-CAPP organiza, em colaboração com diversas entidades, um encontro que permite a divulgação de novos estudos e projectos de investigação e o debate em torno das principais questões da actualidade do meio radiofónico.

Várias gerações de profissionais, estudantes e investigadores discutem as novas tendências e projectam a evolução futura deste meio de comunicação social.

A iniciativa irá decorrer no Atmosphere Lounge Lx, em Lisboa, sito na Travessa Conde da Ponte no 12, Alcântara, Lisboa (em frente ao Hotel Vila Galé Ópera), a partir das 16.30h, encontrando-se previsto o seguinte programa:

16.30h ESTUDANTES

Apresentação do documentário de Rádio Energia 2.0: a Rádio Energia 20 anos depois

17.00h INVESTIGADORES - “A investigação sobre radiodifusão em Portugal”

18.00h PROFISSIONAIS - “A rádio como meio social”

19.00h PROFISSIONAIS - “Tertúlia rádio - passado e presente”

Estes dois painéis têm já confirmada a participação de dezenas de profissionais do sector com responsabilidades não só na Direcção das Estações mas também na apresentação de programas.

19h45 DJ BATTLE

Para mais informações sobre esta iniciativa os interessados poderão consultar o site http://worldradioday.wordpress.com/. "

domingo, 12 de fevereiro de 2012

Inacreditável - Whitney Houston deixou de estar entre nós



"A Cultura do Quarto" - "Internet está no quarto de 67% das nossas crianças"


Há dias atrás, quando me encontrava na rua, recebi o Destak (Segunda-feira 6 de Fevereiro de 2012) das mãos de uma jovem que distribuía jornais,  e como tinha de me deslocar a um determinado local para tratar de assuntos meus, entrei num autocarro e, já sentada, abri-o e resolvi aproveitar o tempo do percurso até ao meu destino, começando  a lê-lo.

Logo como notícia de 1ª página encontrei um título que me deixou muito preocupada e que passo a transcrever: "Internet está no quarto de 67% das nossas crianças. O número é muito superior à média europeia, e prova que a "Cultura do Quarto" chegou a Portugal, segundo dados do UE Kids Online. (...)". Trata-se de um artigo escrito por Isabel Stilwell, que considero muito pertinente.

Os dados mais reveladores indicam que 78% dos nossos jovens têm acesso à Internet (a maioria em casa), 67% destes, usam-na  no conforto do seu quarto (a média europeia é de 49%), 13% passa algumas vezes nas redes sociais por outra pessoa e 7% confessa já ter tido "Uma experiência perturbadora na Internet", é o que se pode ler na página 03. 

Apesar do artigo referir antes das gordas - A geração do "Quarto com vista para o ecrã" -  INTERNET SEGURA Portugal tem a menor incidência de bullying online - não deixa de ser deveras preocupante o tempo que os nossos jovens passam dentro do quarto, ligados à Net.

Uma das explicações dos pais em relação a este facto, é que se preocupam com o sucesso dos filhos nos estudos, mas também sabemos que a maioria dos nossos jovens preferem os jogos em detrimento da pesquisa dos conteúdos curriculares.

Não quero parecer pessimista nem derrotista, mas como professora que fui até há dois anos atrás, constatei, com alguma frequência que, para a maioria dos jovens, o computador era pretexto para brincar e jogar; quando instigados a pesquisar para realização de trabalhos, e com o meu total apoio, encontrava frequentemente alunos a "brincarem" na net - com jogos, com corridas de carros... e outros entretenimentos... apesar da luta constante contra o tempo e prazos de entrega.

Outros havia que, quando se lhes pedia um trabalho de Francês, no dia da entrega, eu constatava que o trabalho estava em Inglês... era o recurso aos Translators tentando despachar o assunto, de qualquer maneira... 

É uma realidade, é, sim,  mas não são eles os únicos culpados!!! Acho que somos todos nós - os pais e a sociedade em geral! Tornámo-nos demasiado permissivos.

Então, em vez de nos lamentarmos ou baixarmos os braços, vamos, isso sim,  educá-los e informá-los acerca dos perigos de um mau uso da Internet -e sempre que pudermos, tentar mostrar-lhes como se devem comportar perante essa "máquina" (sem a qual já não passamos), que é um mundo sem fim e que tantos benefícios nos pode trazer  - é só sabermos transmitir-lhes como se separa o trigo do joio.

É um trabalho constante, de acompanhamento permanente, pois não é por simplesmente os aconselharmos, que os perigos se esgotam ou são, de imediato, ultrapassados. A escola e a família desempenham um papel fulcral neste campo, mas a comunicação entre pais e filhos é o mais importante.

Confio em nós e nos nossos jovens com vista a um futuro melhor!